Nom : Aucun
Prénom : Maryse
Sexe : Féminin
Âge : 263 ans (Apparence : 21 ans)
Race : Vampire
Nationalité : Africaine
Code:
[VALIDÉ PAR YUKI AKUMA ~]
Apparence physique :
Malgré son prénom européen, Maryse n’est pas pour de moins une européenne, mais bien une africaine de souche. Son dos noir est décoré d’un énorme tatouage au contraste blanc qui représente une nuée de serpents attaquant et tuant une meute de hyènes qui essaient de fuir. Le tatouage met en valeur une grande vipère du Gabon. Cette image est une message symbolique qui alerte les gens qui souhaitent attaquer la vampire si elle se retrouverait sans défense.
Cette femme mesure environs 5.9 pieds et possède une silhouette légèrement ronde sans déformée sa beauté corporelle. La peau de Maryse est douce et comporte quelques petits défauts comme des cicatrices circulaires sur ses bras, ses jambes et une grande tâche de naissance sur le côté gauche de son cou. Ses cheveux sont de couleurs noirs et sont souvent tressés avec à la fin de chaque tresses une bille de couleur vive ou, à l’occasion, de petits objets similaires comme des perles de verre et d’or venant de ses victimes féminines. Il n’est pas rare de voir la jeune femme mettre du maquillage aussi vivante que les feux du soleil ou calme et pâle comme la neige.
Description mentale :
Il est très difficile de comprendre les émotions et les intentions de Maryse. Devant la Matrone, elle est obéissante, fait ce qu'on lui dit sans poser de questions et tout le temps prête à réagir si la Matrone serait en danger. Pendant ses nuits libres, Maryse peut portée deux masques différents. Sa première façade est celle de la fille énergétique dans un club. Elle danse, elle boit comme un trou et adore jouer aux jeux de cartes comme le Poker et le Blackjack. Lors de ces nuits, elle porte un maquillage qui attire l'attention des personnes et elle porte des vêtements flagrants, dépendant des saisons. Sa deuxième façade est celle de la chasseuse. Elle n’utilise que cette façade pour tuer ses proies et pour, parfois, tuer des humains pour ensuite voler l’argent dans leur portefeuille. Pour se dissimuler dans la nuit, elle porte une étrange armure de combat qui est fabriqué par un armurier qui vit dans les Côte-d’Ivoire en Afrique.
Peur : Malgré le fait qu’elle a vécu plusieurs années sur Terre, Maryse possède une peur bien connue. La peur du feu à cause de sa croyance et de mourir enflammée.
À propos de l’armure :
L’armure de Maryse est unique dans son genre et son style. Elle est souple et légère, ce qui est parfait pour la jeune femme qui utilise son agilité et sa rapidité pendant les combats.
L’armure a pour premier but de faire peur à son ennemi. Un masque rouge et orné comme un soleil met en valeur les grands yeux noirs et vitrés d’une protection pare-balle. Le masque est fait d'un matériel qu’on utilise pour les gilets de policier qui offre une protection qui ricoche les balles et qui attrape et emprisonne les armes blanches. Cela donne l’impression que le porteur de l’armure est intouchable. Mais ce n’est que le masque qui possède une telle protection.
Le reste de l’armure est fait de matériaux qui résistent aux balles, mais qu’au corps-à-corps elle peut déchirer facilement. Au niveau de la poitrine, une plaque de métal peut amortir et ralentir le trajet de balles qui pourraient aller dans le cœur. L’armure contient aussi des poches où quelques fioles de sang sont protégées, des billes d’argent et un sifflet qui envoie des ultra-sons que n'importe qui peut entendre. Ces ultra-sons ont pour effet de déconcentrer tout ceux qui l'entendent, incluant humain, loup-garou et vampire, dans un radius de 10 mètres, à moins que leurs oreilles soient bouchés. En conséquence de la puissance de l’armure, le fabriquant demande beaucoup d’argent en retour, environs 11 mile livres par armure et Maryse ne peut pas les réparer une fois déchirée ou défectueuse. C’est pour ces raisons que Maryse n’attaque que les gens qui semblent riches ou des dealers de drogues après un marcher.
Manière de se battre :
Maryse n’est pas un vampire à gages, elle trouve que se battre avec des fusils ou toutes armes qui tirent de loin automatiquement est un déshonneur pour la chasse et l’art du combat. Dans un combat contre n’importe quel ennemi, elle essayera toujours d’aller vers les combattants à gages en premier avant d’aller à ceux qui se battent en corps-à-corps. Après cette première phase, Maryse se fera un grand plaisir de défier les survivants avec l’aide de deux couteaux en argent qu’elle a surnommé : Les Crocs du Cobra. Pendant les échanges, Maryse hurlent des chants de guerre pour effrayer son adversaire et le déconcentrer. Ces cris de guerre peuvent changer à un hurlement sauvage comme à une chanson dans sa langue maternelle. Si l’adversaire est battu par Maryse, elle l’honora en prenant un morceau de son doigt et en buvant tout le sang du combattant, si il est humain. Elle peut aussi improviser les armes, s’il est nécessaire, comme utiliser un bâton de plomb contre un loup-garou.
Point apparent :
-Son armure, pendant la chasse, et son style de combat.
Passé du personnage :
Maryse. C’est le nom qu’on m’avait donné quand j’étais qu’une simple enfant. Ma vie commençait au 18ème siècle. Étrange de dire ceci, non? Une femme qui semble en avoir pas plus que vingt-cinq ans et qui dit cela, non? Je m’éloigne, pardonnez-moi. J’ai vécu dans une colonie française, dont l’origine de mon nom bien étrange. Je vivais avec ma mère, mon père et mes deux frères ainés et ma petite sœur. Comme toutes les colonies en Afrique, notre vie était très difficile. Nous n’avions pas le luxe des français et le confort, mais jamais cette idée n’a bousculé mon esprit de jeune fille. J’avais une famille, des amis et une éducation qui laissait à désirer pour quelques personnes, mais je vivais au moment présent et je ne voyais pas le grand désastre qui s’approchait de la colonie.
C’était à mes vingt ans que je vis ma vie normale basculée par une maladie. Une maladie venant des bateaux de France, c’était ce que maintenant nous appelons la variole. Cette maladie amena la mort de plusieurs de mes voisins et tua ma petite sœur qui était trop faible contre la maladie. Notre peuple se frustra de cette trahison. Déjà, nous étions laissés à nous même dans ses temps où nous avions besoin d’un médecin, mais aucun médecin veina à notre secours et personne de notre peuple ne pouvait guérir cette maladie venant des diables blancs. Dans notre colère qui nous aveuglait de tout jugement, un étrange homme fît son apparition dans notre village pendant la nuit. Il promettait la force de nous venger contre ses hommes blancs. Il avait un sceau remplie d’eau, mais la couleur était étrange.
«Buvez! Buvez!»
Nous ne savions pas si c’était un piège, mais les quelques membres courageux ou téméraires boivent dans le sceau. Je fus un de ses fous et je bus. Tout ce que ma mémoire peut me faire rappeler fût la douleur que ma poitrine m'amenait à ma tête qui semblait vouloir sortir de mon crâne. Ce liquide était une sorte de poison qui détruisez mon corps et mon âme, réduisant à néant mes forces et qui m'amena presque dans les bras de la mort. Ma mère cria mon nom tendît que mon peuple commençait à voir les quelque survivants se relever et à montrer leurs crocs, leurs nouvelles armes. Je fuis l’un d’eux. Mes frères me demandèrent si j’allais bien, mais tout ce que je me disais et toutes mes pensés étaient rivées sur une seule chose :
«VENGEANCE.»
Cette nuit là, j’avais tué et j’avais bu pour la première fois du sang humain qui coulait dans ma gorge comme un vin délicieux.
Mais quand le soleil se leva, l’étranger avait disparu et j’ai compris rapidement pourquoi. Le soleil brûlait ma peau à un tel point que j’ai cru perdre mes yeux. Horrifié, mon père arriva à la course et me couvrît d’une
grande et épaisse couverture ensanglantée.
Les années passèrent et je vivais avec ma famille qui avait continué à vivre dans la colonie sans que la France envoie de nouveaux représentants. Malgré ma transformation démoniaque, ils continuaient à m'aimer. Mais ma vie avait changé et les conséquences se révélèrent. Quand j’ai compris, une nuit, que le sang animal ne me suffisait pas, j’ai compris que c’était celui d’humain qui me fallait pour survivre. Alors, au tombé d’un soleil, je dis adieu à ma famille et partît dans les régions de l’Afrique pour que je ne puisse pas les tuer pendant leur sommeil.
Pendant plus de deux cents trente ans, je vivais comme un animal et rapidement les villageois crûrent que j’étais un démon. Même si je ne voulais pas faire de mal à quelqu'un, je devais me nourrir sans le tuer pendant que je buvais son sang. Il m’arrivait, dans mes débuts, de les tuer. J’avais honte, mais après plusieurs essayes et tentatives, j'ai compris l’art de ma soif, de la discrétion dans la nuit et dans les foules je passais incognito. Je chassais l’homme comme un animal quand ma soif était devenue trop intense et je le traquais quand ma soif était contrôlable. Pendant une nuit vers les années 1900, je rencontra le même homme qui m’avait amené à ma vengeance. Il me demandait si j’avais un but dans mon existence quasi immortel et je lui répondu, de toute franchise, que je n’avais aucun. Alors, il me proposa de travailler pour lui sous le nom de Vermillion. Cette décision mettait cruciale, est-ce que je continuais à être l’animal que je suis ou j’utilise mes pouvoir pour aider mes miens? Je lui dis oui et avec un sourire, il m’amenait dans une forge.
«-Puisque tu sembles être le type de fille qui aime la rapidité, j’ai fait cela que pour toi.»
Il ouvra un placard et je vis une armure représentant la gloire de mon peuple. Je tombai rapidement amoureuse de cette deuxième peau et je la portai en toute honneur.
Je travaillai avec cet homme que je n’ai jamais connu le nom. Il était mon superviseur et celui qui me donnait mes armures que je payais par l’accomplissement de chaque missions que je réussis. En 2011, tout bascula. Mon patron me dît que je dois aller à Londres et servir la Matrone elle-même, Helen Gale Vermillion. Je fusse honorée et accepta sans hésitation cet honneur.
Depuis ce temps, je me bats pour le nom Vermillion dans les rues de Londres. Ce même nom qui m’a aidé à me venger et celui qui m’a donner cette magnifique vie. J’accepterais toute requête de la Matrone elle-même et jamais je ne lui dirais non, car mon corps et mon âme sert maintenant pour le bien de notre race supérieur.
Autre informations : Maryse adore les serpents et sa couleur préférée est le jaune.
